L'interview de Marlène Cappelle pour le Fiphfp

La loi du 11 février 2005 réaffirme l'obligation d’emploi de travailleurs handicapés pour les employeurs, qui s‘élève à 6 % de l’effectif d’assujettissement (loi de 1987). Pour inciter les employeurs à atteindre ce taux, un mécanisme d’incitation financière est mis en place : les employeurs qui ne respectent pas l’obligation d’emploi de 6% de travailleurs en situation de handicap sont soumis à une contribution financière. Ces contributions sont versées à l’Agefiph pour le secteur privé, et au Fiphfp pour la fonction publique. C'est ainsi que le Fiphfp voit le jour, il y a 20 ans.

Quel bilan tirez-vous de la loi de 2005 ?

Marlène Cappelle : « Si je prends la question par rapport à notre travail, par rapport à l'emploi, ce qu’a amené cette loi de 2005, c'est vraiment la question de l'inclusion des personnes en situation de handicap, et de la responsabilisation du droit commun dans l'inclusion de ces personnes dans l'emploi. » - Extrait de l'interview pour les 20 ans du Fiphfp -

Gérer les cookies pour autoriser les vidéos Youtube

- L'interview complète en vidéo de Marlène Cappelle -

Quels sont les mots qui définissent le mieux le Fiphfp et son action ?

Marlène Cappelle : « Agilité. Adaptation des aides. Proximité. Quand j'entends proximité c'est proximité des DTH Fiphfp, mais aussi proximité du national vis-à-vis du régional, qui, pour nous, est très important. Le Fiphfp est un peu comme Cheops, c'est-à-dire une équipe peu nombreuse mais très experte. Ce qu'on apprécie aussi dans le travail avec le Fiphfp, c'est sa capacité à entrer dans de nouveaux projets, à être ouvert à des propositions et à avoir vraiment cette agilité et cette expertise. » - Extrait de l'interview pour les 20 ans du Fiphfp -